Albert Emon est ferme. "Le syndrome du Vélodrome" qui frappe actuellement son équipe doit vite s'envoler avant la réception de Toulouse samedi.
"Quand les joueurs signent à Marseille, ils savent qu'ici, c'est particulier, et en général ils sont ravis de savoir qu'il y a 60 000 personnes dans les tribunes. Aujourd'hui, s'il y en a qui ont peur du Vélodrome (...) il vaut mieux qu'ils restent à la maison. Et si certains ont trop de pression sur les épaules à l'idée de jouer devant nos supporters qui sont un peu difficiles, j'en mettrai d'autres. Il faut trouver des solutions radicales", s'est agacé Albert Emon, entraîneur de l'Olympique de Marseille, dans les colonnes du Parisien.
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